Si les illustrations de l’Iris blanc, le quarantième tome d’Astérix, ont été confiées à Didier Conrad, comme c'est le cas depuis 2013, son scénario a été imaginé par FabCaro. Une première pour l'auteur de bande dessinée à l'humour hautement absurde. À l’image de ses prédécesseurs, ce nouvel album capte l’esprit de l’époque en s’intéressant à un phénomène de société assez actuel, celui du développement personnel et de la pensée positive. Des préceptes qui vont amener le village gaulois à adopter des réactions ambivalentes. Tandis que certains semblent sous le charme, les autres ont l'air sceptiques. La raison de telles attitudes tient dans le titre, L'Iris Blanc.
Alors que César s'inquiète de voir ses troupes démotivées, il accorde sa confiance à son médecin en chef Vicévertus, fondateur d'une nouvelle école de pensée positive baptisée L'Iris Blanc qui s'implante dans Rome. Charmeur et sage, manipulateur et séducteur, Vicévertus, qui s'exprime essentiellement à l'aide d'aphorismes, exerce une emprise qui dépasse les frontières du camp romain... jusqu'à se répandre dans le village gaulois, qui va s'en trouver bouleversé. Bienveillance, empathie, vie saine, harmonie entre les êtres... Ce discours noble cache des buts qui le sont moins. Mais pas d’inquiétude, tout cela se conclura comme d’habitude par une raclée infligée aux Romains, par une bonne bagarre, indolore et joyeuse, entre villageois et par un banquet régénérant.
Pour découvrir cette nouvelle histoire, quatre formats sont disponibles. En plus de l'édition classique et numérique, L'Iris Blanc se donne aussi à lire en édition luxe. Toutes les illustrations de ce nouvel album et le travail que celles-ci ont demandé sont également à découvrir en détails dans l'artbook dédié. A l'intérieur, l’album en couleur, l’intégrale des crayonnés originaux et un dossier de 30 pages avec de nombreux dessins et documents de travail inédits de FabCaro et Didier Conrad.